La compagnie Kumulus
De réalité crue et de sentiments à fleur de peau, c’est de cela dont il s’agit.
Sensible au travail de Pina Bausch, Jérôme Bosch et Alain Platel, Barthélemy Bompard insuffle un air d’expressionnisme allemand dans ses spectacles où l’émotion est poussée jusqu’à son paroxysme.
À travers le geste, le mot et le son, la compagnie retranscrit des sujets de la vie quotidienne et de l’actualité mondiale: racisme, folie, exode… La scénographie et l’écriture s’articulent autour d’un paramètre théâtral majeur : l’espace public.
LA MONTAGNE – Anna Modolo Qui a tué mon père « La compagnie Kumulus signe avec Qui a tué mon père une mise en scène brillante de l’œuvre éponyme d’Édouard Louis. » |
DE LA COUR AU JARDIN – Yves Poey Qui a tué mon père « Un véritable et fascinant choc artistique! Lorsque la forme dramaturgique se met au service du propos littéraire. » |
LA TERRASSE – Mathieu Dochtermann Fragile « Kumulus propose une lecture poétique et politique des espaces publics et célèbre avec Fragile la joie d’être ensemble. » |
TÉLÉRAMA – Emmanuelle Bouchez NonDeDieu « La compagnie Kumulus, pionnière des arts de la rue s’empare ici de l’esthétique du cirque itinérant pour rendre un hommage vibrant à la vie d’artiste. » |
LIBÉRATION |
TV5 MONDE / ÉQUIPAGE – B. Casanova |
DANSER -Thomas Hahn |
L’HUMANITÉ |
En 2006, Barthélemy Bompard reçoit le prix SACD des arts de la rue pour l’ensemble de son œuvre.
Prix du meilleur spectacle au festival de Teatro y Artes de Calle – Valladolid (Espagne) pour Silence encombrant en 2012 et pour Itinéraire sans fond(s) en 2002.
Prix du meilleur spectacle lors de l’international Strassentheaterfestival d’Holzminden (Allemagne) pour Les Squames.
Prix Beaumarchais pour l’écriture d’Itinéraires sans fond(s) en 2002.
Prix du meilleur spectacle du festival de Chalon dans la rue pour SDF en 1992.
La compagnie est soutenue par la Direction régionale des affaires culturelles d’Auvergne-Rhône-Alpes, la Région Auvergne-Rhône-Alpes et le Département de la Drôme.